Bonjour à tous, cher Battlefield-France !

après tant d’années d’attente, Logiciel de reflux a tenu parole et a publié sa terrifiante horreur à la première personne sur PC et Xbox Series X / S Mépris.

Scorn : une horreur incroyable

Mépris est une aventure d’horreur à la première personne se déroulant dans un univers cauchemardesque, rempli de formes et de créatures bizarres et terrifiantes et d’environnements sinistres. Le jeu tentera de nous immerger dans ce monde inconnu aux zones interconnectées de manière non linéaire. Chaque zone est labyrinthique, avec son propre thème, ses propres énigmes et personnages fondamentaux pour la création d’un monde cohérent qui nous permettra d’acquérir différentes compétences, armes et objets pour essayer de comprendre ce qui nous entoure.

La narration est sans séquences animées mais tout en jeu, ainsi que les interactions les plus réalistes possibles où les objets ne sont pas tenus en l’air mais bien dans la main. L’équipement est limité et bien défini pour élever notre niveau de conscience : nous pouvons nous battre ou nous cacher, mais nous devons garder à l’esprit que chacune de nos actions affectera l’environnement qui nous entoure. De plus, le schéma de jeu classique est inversé : ce n’est pas le joueur qui envahit l’environnement, mais l’inverse ; nous assisterons à des scènes comme des engins composés de notre sang dans notre chair.

Mépris : silence pour nous faire perdre

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Nous contrôlerons un humanoïde qui, comme tout dans le jeu, ne prononcera aucun mot pendant toute la durée du jeu car le décor est le véritable protagoniste du jeu racontant un lore plutôt qu’une histoire réelle puisqu’il n’entre jamais dans les détails, mais parvient à être charmant malgré tout. La seule chose qui nous fera avancer, c’est donc la recherche d’une issue à cet enfer que, d’une certaine manière, le jeu nous apprendra à apprécier. Le mutisme est également visuel : il n’y a pas de carte tandis que les indicateurs de santé et de munitions n’apparaissent qu’à des occasions spécifiques telles que des combats ou lors de l’utilisation d’objets de guérison pour créer un sentiment de perdition encore meilleur chez le joueur.

Mépris : l’influence du gingembre

Le jeu a été thématiquement influencé par Hans Ruedi Gigerpeintre, dessinateur et sculpteur suisse, aujourd’hui décédé, célèbre pour avoir réalisé Le Xénomorphe d’Alien se retrouve à la fois dans l’esthétique et dans l’attention obsessionnelle aux interactions/intégrations homme-machine, l’utilisation de l’alphabet universel de la sexualité, l’indifférence du protagoniste de ses tableaux envers la violence à leur encontre et à leur ‘corps de l’autre’, à moins dans la plupart des cas ; en effet, parfois, notre personnage réagira de manière imprudente rendant intolérables certaines atteintes à sa chair.

Mépris : les bagarres

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Comme mentionné, le jeu est presque composé d’énigmes, mais il y a aussi des combats, dans certains cas frénétiques, contre des créatures hideuses en forme d’organes génitaux humains que nous devrons vaincre avec des armes de toutes sortes, même avec un simple court -arme à feu qu’il nous obligera à nous rapprocher des créatures hideuses et à reculer pour gérer les temps de recharge.

L’édition de luxe comprend la bande originale numérique officielle, composée par Aethek & Lustmord, ainsi qu’un artbook numérique de 192 pages avec des tonnes d’illustrations et de croquis exclusifs liés à la création de l’univers cauchemardesque de Mépris.

Ci-dessous, la bande-annonce :

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