Le membre Yakuza avec le permis de tuer.
Embarquez pour un voyage à travers les ombres du paysage criminel japonais avec notre critique de Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name.
Sorti le 8 novembre sur PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox One, Xbox Series X|S et PC, le dernier opus de SEGA et Ryu Ga Gotoku Studio divertira sûrement les nouveaux arrivants et les fans de longue date de la série.
Like a Dragon Gaiden propose une nouvelle approche du monde du crime organisé au Japon. Avec ses racines classiques de beat’em up et une touche de gadgets high-tech, les joueurs pourront vivre une aventure Yakuza amusante.
Pour les fans de longue date des séries Like a Dragon et Yakuza, The Man Who Erased His Name propose un voyage nostalgique vers le système de combat classique beat’em up présenté dans les premiers jeux Yakuza. Cependant, ce qui distingue cet épisode, c’est l’introduction de combats de style Agent, transformant le protagoniste, Joryu, en un James Bond japonais.
Parmi l’arsenal de gadgets à votre disposition, vous trouverez un lance-toile, tirant des fils de liaison électrifiés pour étourdir les ennemis, une flotte de drones aidant à la suppression des rues et des cigarettes explosives qui rendent le tabagisme bien plus dangereux pour la santé de chacun.
Sans plonger trop profondément dans le récit pour éviter les spoilers, The Man Who Erased His Name reprend juste après les événements de Yakuza : Like a Dragon. Notre protagoniste a décidé de laisser derrière lui sa vie de yakuza, pour ensuite découvrir que son passé le rattrape dans une aventure rapide et passionnante. Le jeu est rempli de séquences exagérées qui font la renommée de la série.
L’homme qui a effacé son nom a un récit plus simple que ses prédécesseurs. Il est facile de suivre que vous soyez nouveau dans les jeux Yakuza ou familier avec les exploits légendaires du Dragon de Dojima. Le jeu excelle également à guider les joueurs à travers son interface, ses étapes, ses paramètres et son système de combat, garantissant ainsi aux joueurs une transition en douceur dans l’univers Like a Dragon.
L’un des points forts du jeu réside dans sa gamme diversifiée de mini-jeux, des jeux de casino et d’arcade aux jeux de bar et de société. Le segment karaoké, mettant en vedette un mini-jeu de type guitar-hero, offre une pause à la fois stimulante et divertissante par rapport au scénario principal. Ces diversions, associées à l’exploration richement détaillée de la culture japonaise, ajoutent du plaisir au-delà de la quête principale.
Dans le véritable esprit de Yakuza, The Man Who Erased His Name offre l’humour caractéristique de la série au combat. Que vous attachiez des sangles à des ennemis comme Spiderman ou que vous maniiez un vélo comme une hache de combat géante, le jeu fait rire.
Like a Dragon Gaiden dépasse les attentes et offre la quintessence de l’expérience Yakuza. Le combat mélange parfaitement l’hilarité des gadgets de style Agent avec le style de bagarre classique de Yakuza. Il résume l’essence de l’humour caractéristique de Yakuza, faisant de chaque rencontre un spectacle délicieux et souvent absurde qui ajoute au charme unique du jeu.
Se diriger vers Le site officiel de SEGA pour plus d’informations sur Like a Dragon Gaiden, l’homme qui a effacé son nom.
Regardez la bande-annonce complète du jeu ci-dessous.